Résumé :
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L’image du monde est stockée sur des disques durs, dans des appareils numériques. Mais quel genre de monde peut être sauvegardé sur ces supports? Des entrailles au format jpg, des identités non connectées qui ressemblent plus à notre épiderme qu’à une histoire englobante. Matías Uris a trié ses propres appareils numériques en sélectionnant plusieurs séries photographiques, celles qui nous permettent de rendre compte non pas tant de tout son travail, mais offrent une carte pour naviguer dans sa propre archive. TOSHIVA devient ainsi un récit introspectif de la consommation obsessionnelle des images et comment l’invasion des jpg conditionne nos vies.
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